Par catégorie
AMOYAL Pierre
Pour l’amour d’un Stradivarius
Paris, Laffont, 2004, 235 p.
Coup de foudre, drame et heureux dénouement. Rien ne manque à cette aventure aux héros peu banals : Pierre Amoyal, l’un des plus talentueux violonistes du monde, et le Kochanski, un stradivarius, dérobé puis retrouvé quatre années plus tard après de rocambolesques péripéties. Un polar qui se double d’une extraordinaire autobiographie, pleine de verve et d’émotion.
AMOYAL Pierre
Dans la lumière de Heifetz, entretien avec Sherrer,
Bibliothèque des Arts, 2014, 119 p.
Né à Paris en 1949, Pierre Amoyal a le violon dans le sang. Un sang où coule un peu de Russie et un peu d’Afrique du Nord séfarade, et surtout beaucoup de passion. Faire de la musique constitue dès son plus jeune âge une idée fixe. Pendant que ses camarades jouent dehors, lui fait ses gammes, ses études, brûle les étapes : Premier prix du Conservatoire de Paris à… 12 ans ! Il aurait pu étudier avec David Oïstrakh : il a choisi Jascha Heifetz et la côte ouest des Etats-Unis.
BRUSSILOVSKY Alexandre
Yuri Yankelevitch et l’école russe du violon
1999, 349 p.
Issu de la grande tradition de l’Ecole Russe du violon, Yuri Yankelevitch fonda sa propre école et donna au monde de la musique les artistes les plus prestigieux. Son nom trouve sa place auprès de Flesch, Auer, Sevcik, Oïstrakh et Galamian…
CLÉMENT Philippe
Ivry Gitlis : l’homme du violon
Volute, Numérica, 2011, 300 p.
Un ouvrage sur la vie d’Ivry Gitlis ne peut laisser personne indifférent. Son parcours de musicien est le reflets d’une personnalité exceptionnelle faite de contrastes où musique et coeur sont intimement liés, dévoilant ainsi une extrême sensibilité et un réel attachement aux valeurs humaines. Ces différentes qualités jointes à un talent de violoniste surdoué donnent à ses interprétations une indiscutable sincérité.
DE COUESSIN Charles, PROUVOST Gaëtane, LANDOWSKI Marcel
Zino Francescatti (1902-1991) : le chant du violon
Paris, L’Harmattan, 1999, 269 p.
Né avec le siècle Zino Francescati côtoya tout ce que les arts produisirent de meilleur en ces temps troublés. Il se produisit avec les plus grands chefs de l’époque : Karajan, Boulez, Toscanini, Furtwängler, Paray, Ormandy, Münch Il constitua avec Robert Casadesus l’un des plus fameux duos de l’après-guerre. Descendant en droite ligne de Paganini, son jeu intègre une composante lyrique saluée par le succès de l’opéra à la fin du siècle dernier.
DE LA CERDA Alexandre
Pablo Sarasate
Séguier, 2011, 113 p.
Né avec le siècle Zino Francescati côtoya tout ce que les arts produisirent de meilleur en ces temps troublés. Il se produisit avec les plus grands chefs de l’époque : Karajan, Boulez, Toscanini, Furtwängler, Paray, Ormandy, Münch Il constitua avec Robert Casadesus l’un des plus fameux duos de l’après-guerre. Descendant en droite ligne de Paganini, son jeu intègre une composante lyrique saluée par le succès de l’opéra à la fin du siècle dernier.
DORIAN Jean-Pierre
Un violon parle : souvenir de Jacques Thibaud
Paris, Ed. du Blé qui Lève, 1947, 298 p.
FLAMMER Ami
Apprendre à vivre sous l’eau
Christian Bourgois Editeur, 2016, 148 p.
Dans ce récit autobiographique, le violoniste Ami Flammer, né à Metz, commence par retracer le fil de ses origines, qui remontent à la Russie et à l’Europe centrale. Dès son plus jeune âge, il se trouve en but à toutes sortes d’orthodoxies : la foi juive de ses ancêtres et la voie d’un métier correct. Refusant de faire sa bar-mitzvah, il convainc ses parents de l’autoriser à se lancer dans une carrière musicale. Très précoce, il se retrouve ainsi au conservatoire à Paris, en mai 1968.
GITLIS Ivry
L’âme et la corde
Buchet-Chastel, 2013, 320 p.
Né à Haïfa dans la Palestine mandataire, Ivry Gitlis réclame un violon à l’âge de cinq ans, et son entourage se cotise pour lui en offrir un. Remarqué par Bronisław Huberman, l’enfant prodige s’installe bientôt à Paris : premier prix du Conservatoire à treize ans, il étudie avec les plus grands maîtres (Flesch, Enesco, Thibaud) en Belgique, à Londres et à Paris. C’est le début d’une carrière de violoniste la plus libre et anticonformiste qui soit.
GRAPELLI Stéphane et BRAMY J. M.
Mon violon pour tout bagage : mémoires
Paris, Calmann-Lévy, 1992, 216 p.
A quatre-vingt-quatre ans, Stéphane Grappelli arpente les scènes du monde entier, son violon pour tout bagage. Fils d’un professeur italien sans le sou, élevé pauvrement, il a gardé de son enfance à Montmartre la gouaille d’un Gavroche et l’appétit d’un aventurier. Avant de devenir le prince incontesté du violon jazz…
GUINGAMP Pierre
Michel Warlop, 1911-1947, génie du violon swing
Paris, L’Harmattan, 2011, 306 p.
Première biographie mondiale de Michel Warlop, cet ouvrage retrace l’existence et l’œuvre de cette étoile filante du jazz. Âgé de 17 ans, en 1928, il est lauréat de tous les premiers prix de conservatoire de violon et de direction d’orchestre. Aux dires des spécialistes, il est l’un des grands violonistes du XXe siècle. Mais c’est compter sans une musique nouvelle, le jazz. Les rencontres de son violon et de la guitare de Django Reinhardt seront des grands moments du jazz français.
JOLY Patrick
L’esprit et la main, Jean Bauer
Édition Siloé, 2004, 136 p.
Jean Bauer, dans le domaine de la création, est très certainement l’un des plus grands luthiers du XXe siècle. Quelques six cents musiciens, à travers le monde, ont le privilège de posséder l’un de ses instruments. Ce livre résulte de la rencontre d’un photographe et du maître luthier.
KREMER Gidon
Une enfance balte
Actes Sud,1999, 296 p.
Gidon Kremer est né dans une famille de violonistes et le jour où, à quatre ans, il imite à l’aide d’une baguette le jeu d’un musicien, on trouve tout naturel de lui faire commencer l’apprentissage du violon pour lequel il semble prédestiné. Ce récit en deux parties (la première relate les souvenirs de Gidon Kremer devenu adulte, la seconde est le journal qu’il écrivit entre douze et dix-sept ans), retrace l’enfance et l’adolescence d’un futur virtuose…
LOCKWOOD Didier
Profession jazzman, la vie improvisée
Hachette Littératures, 2003, 284 p.
A l’occasion de ses trente années de carrière, D. Lockwood retrace son parcours atypique. Ce jeune prodige du violon grandit dans les quartiers populaires de Calais. Pur produit du Conservatoire, il décide pourtant dès l’âge de 16 ans de devenir violoniste de jazz. Il débute au sein du groupe de rock progressif Magma. Remarqué par Stéphane Grappelli, il signe son premier contrat à 21 ans.
MAGIDOFF Robert
Yehudi Menuhin
Correa Buchet / Castel, 1957, 270 p.
MAMY Sylvie
Antonio Vivaldi
Paris, Fayard, 2011, 866 p.
La vie tumultueuse et pleine de paradoxes de ce compositeur, que tout le monde en son temps appelait le Prêtre roux, alors qu’il ne célébrait pas la messe, et travaillait pour les théâtres , composant, dirigeant, tenant le rôle de l’imprésario, se mêlant aux intrigues, aux procès, aux rivalités entre chanteurs et négociant avec fermeté les contrats pour sa cantatrice favorite, Anna Girò. Elle nous fait connaître le milieu très fermé de l’hospice de la Pietà, où Vivaldi enseignait le violon à des jeunes filles recluses...
MASSIN Brigitte
Les Joachim : une famille de musiciens
Paris, Fayard, 1999, 449 p.
Alors que la France et l’Allemagne s’entre-déchirent au cours de trois conflits meurtriers, une famille germanique d’origine juive, les Joachim, va, à la faveur du mariage d’un de ses membres avec une Française, incarner et exalter à travers trois générations d’interprètes le génie musical des deux pays. Au départ, il y a Joseph Joachim (1831-1907), un des violonistes les plus célèbres de son temps, ami de Mendelssohn, Liszt, Wagner, Schumann et Berlioz, mais surtout de Brahms, dont il crée le concerto pour violon
MENUHIN Diana
Compagne d’un violon : ma vie avec Yehudi
Paris, Gallimard, 1984, 344 p.
Souvenirs de la femme de Yehudi Menuhin, une vie double parfois triple aux côtés du célèbre violoniste, les tournées dans le monde entier, les rencontres avec des personnages tels que Indira Gandhi, Nehru.
MENUHIN Yehudi
Voyage inachevé : autobiographie
Paris, Seuil, 1978, 380 p.
Un grand violoniste de notre époque raconte sa vie, ses activités musicales, ses interventions comme apôtre de la paix. L’ensemble est accessible à un public assez large, mais certaines pages seront mieux comprises des lecteurs initiés à la musique.
MENUHIN Yehudi
Le violon de la paix
Paris, Éditions Alternatives, 2000
« Le rêve de mon enfance, pour ne pas dire mon rêve enfantin, était que la paix pourrait apparaître sur la terre si seulement j’arrivais un jour dans la chapelle Sixtine, à jouer suffisamment bien la Chaconne de Bach. » Ce rêve de paix, Menuhin l’a poursuivi toute sa vie, à travers la musique certes, mais aussi par ses engagements courageux, obstinés, souvent à contre courant, dans la vie de son temps.
MENUHIN Yehudi
Variations sans thème
Paris, Éditions Buchet-Chastel, 1999
Après la vie de Menuhin, voici sa pensée, pensée qui dépasse de beaucoup celle d’un violoniste, si grand soit-il, et même celle d’un musicien ; elle est avant tout celle d’un humaniste. Les textes qui composent ce livre ont été groupés en quatre parties : la musique, l’éducation, l’environnement, l’Europe. La première présente les créateurs que l’auteur admire : Bach, Mozart, Beethoven, Bartok, ainsi que les interprètes qui l’ont formé ou influencé Enesco, Casals, Ravi Shankar. C’est l’occasion de parler de l’improvisation, de l’interprétation et surtout de la contribution de la musique à l’humanité.
MOLKHOU Jean-Michel
Les grands violonistes du XXe siècle tome 1, De Kreisler à Kremer, 1875-1947
Buchet-chastel, 2015, 384 p.
Cinquante portraits, vivants et documentés, des violonistes légendaires du XXe siècle nés avant 1947. Dans chacune de ces biographies sont retracées la vie et la carrière de l’artiste, en même temps que sont analysés la spécificité de son jeu et les principaux éléments de sa discographie. Pour le mélomane, qui découvrira également sur quels violons ont joué ces interprètes, cet ouvrage constitue un précieux outil lui permettant de pénétrer l’art et la personnalité de chacun.
NEILL Edward
Niccolo Paganini
Fayard, 1991, 482 p.
PAPAVRAMI Tedi
Fugue pour violon seul
Paris, Robert Laffont, 2013, 315 p.
Dans les années 1970, alors que l’Albanie s’enfonce dans l’isolement et la répression sous le joug de son dictateur Enver Hoxha, Tedi Papavrami grandit, entouré de son père Robert, violon solo de l’orchestre de l’opéra de Tirana et brillant professeur de violon au conservatoire, et de sa mère, programmatrice musicale à la radio d’État.
PIGAILLEM Henri
Stradivarius: sa vie, ses instruments
Bourg-la-Reine, Zurfluh, 2000, 223 p.
Antonio Stradivari, dit Stradivarius, évoque pour l’initié comme pour le profane un nom de légende, que la qualité des violons et autres merveilles instrumentales qu’il produisit tout au long de sa carrière a fait passer à la postérité. Attaché comme nul autre à son atelier et à sa ville de Crémone, capitale immortelle des luthiers italiens, il vécut nonagénaire au service constant de la musique par l’amour sans faille qu’il portait à son expression la plus parfaite.
REY Xavier
Niccolo Paganini, Le romantique italien
L’Harmattan, 1999, 350 p.
Le plus spectaculaire violoniste de tous les temps, a payé, durant toute sa vie, le tribut de la gloire : les médisances, les calomnies, les légendes les plus sordides ou les plus sulfureuses ont été abondamment répandues sur son compte. Pourtant, ce génie musical, qui a marqué l’histoire du violon de son indélébile empreinte, était en réalité un artiste complet et d’une phénoménale puissance au travail, un homme timide, amoureux de la vie, bon et généreux
SORIANO Marc
Les secrets du violon : souvenirs de Jules Boucherit : 1877-1962
Paris, Ed. des Cendres, 1993, 168 p.
Ces souvenirs de Jules Boucherit (1877-1962) racontent l’histoire du violon des années 1920 à 1950. Proche de Reynaldo Hahn, Jules Boucherit devient professeur de violon au conservatoire de Paris en 1920, à l’instigation de Gabriel Fauré. Parmi ses élèves citons Lola Bobesco, Devy Erlih, Christian Ferras, Ivry Gitlis, Ginette Neveu, Manuel Rosenthal, Michel Schwalbé et Denise Soriano. Une magnifique leçon d’excellence recueillie avec grâce et élégance par Marc Soriano.
STERN Isaac et POTOK Chaim
Mes 79 premières années
Paris, Nil, 2000
Isaac Stern a dix mois quand ses parents fuient la Révolution russe pour émigrer à San Francisco. Très vite remarqué, le jeune virtuose se produit à treize ans en public et donne son premier récital à New York à dix-sept. Il mène dès lors la vie de tournée d’un interprète de renommée internationale. Il joue dans toutes les plus belles salles du monde – sauf en Allemagne car il ne peut se livrer avec amour, dit-il, dans le pays de l’Holocauste : en URSS pendant la guerre froide, en Chine où il est le premier musicien occidental à se rendre après la Révolution culturelle. Il s’engage surtout activement pour Israël, dont il deviendra un véritable ambassadeur.
TUBEUF André
Adolf Busch – Le premier des justes
Actes Sud, 2015, 176 p.
Hommage à une grande figure, trop peu connue, du XXe siècle. Adolf Busch (1891-1952) était le violoniste numéro 1 d’Allemagne. Pour l’Histoire, il restera ce pur Aryen qui le premier a rompu avec une Allemagne où il avait tout, son public, son avenir, jurant qu’il n’y remettrait les pieds qu’une fris Hitler pendu entre Goebbels et Goering. Pour ce pacifique proscrit par choix puis exilé par la guerre, un seul combat : que la musique de Bach puisse plaire à tous.
BOUET Jacques, LORTAT-JACOB Bernard, Radulescu Speranta
A tue-tête. Chants et violon au Pays de l’Oach, Roumanie
Nanterres, Société d’ethnologie, 2005, 553 p.
Consacré à une petite population du nord de la Roumanie, ce livre traite d’une musique déroutante pour l’oreille occidentale — d’une musique jouée sur un violon d’une espèce particulière ou chantée dans un registre très aigu —, dont la structure motivique et la forme « indéterminée » avaient déjà intrigué Bela Bartok au début de ce siècle
LEMOU Pierrick
Le violon en Bretagne
Armen, le Chasse-marée, novembre 1993, n° 55
MABRU Lothaire
Comment la musique vient aux instruments : ethnographie de l’activité de lutherie à Mirecourt
Sarreguemines, Pierron, 1998, 204 p.
La lutherie, vue comme activité musicienne au travers de l’instrument d’abord : objet esthétique, objet d’art, marchandise, et instrument de musique bien sûr. Puis vient le savoir du luthier, savoir-faire, savoir-dire et savoir-être, c’est-à-dire « être musicien ». Le tout appuyé sur de nombreux témoignages de ces hommes de l’art.
MONAST Marie-Louise
La Bolduc : le violon de mon père
Les Editeurs réunis, 2018, 424 p.
La Bolduc – « Le violon de mon père » nous fait revivre le parcours de Mary Travers, dite « madame Bolduc », qui fut la première auteure-compositeure-interprète du Québec à vivre de son art. Son histoire est un périple rempli d’émotion, de courage et de persévérance, et le portrait de toute une époque.
PARCHLINIAK Jean-Philippe
Le violon du Poilu
Dumerchez (Historial de la Grande Guerre), 2001
RIBOUILLAUT Claude
La musique au fusil
Rodez, Editions du Rouergue, 1996. 286p., ill.
Pendant la Grande Guerre, à quelques centaines de mètres parfois de la ligne de front, les combattants inventent des chansons sur des airs populaires et jouent de la musique sur des instruments fabriqués avec des matériaux de récupération. La mobilisation a rassemblé dans les mêmes régiments musiciens des campagnes et concertistes, chefs d’harmonie et violoncellistes de salon, orchestres d’ici et d’ailleurs. Dans les tranchées, dans les bals avec travestis qu’on improvise après la bataille, on chante le désespoir et la révolte, la nostalgie aussi.
RIVIÈRE Sylvain
Tête de violon
Éditions du Passage, 2005
Magnifique album photo qui présente 64 violoneux et violoneuses des îles de la Madeleine, cadrés au grand vent ou dans leur cuisine. Les photographies en noir et blanc de Maude G. Jomphe sont accompagnées de textes de Sylvain Rivière.
STOICHITA Victor Alexandre
Fabricants d’émotion, Musique et malice dans un village tsigane de Roumanie
Société d’éthnologie, 2008, 229 p
En Roumanie, les musiciens professionnels tsiganes animent divers événements publics: mariages, baptêmes, enterrements, soirées de restaurants, rassemblements politiques… Parmi les compétences requises, ils citent fréquemment la ruse, la malice ou encore la diplomatie. Certains adoptent une position plus tranchée, affirmant que la musique jouée n’acquiert de réelle qualité que par ces capacités d’insinuation et d’adaptation. Quel rapport peut-il y avoir entre la négociation, le marchandage, la politique villageoise quotidienne et les affects variés que suscite la (bonne) musique ?
VERDET Anne, PORTAL Michel
Le violon des autres un village et la musique, des années 30 aux années 70
Paris, L’Harmattan, 2010, 318 p.
Ainsi a commencé l’histoire : celle de ce gamin qui voulait obstinément apprendre la musique, quoi que sa paysanne de mère en pense, celle de cette société rurale, à l’écart de la modernité, celle de l’Ecole, et de l’ouverture des futurs possibles… , celle d’une volonté d’apprendre la musique et de la faire partager. Anne Verdet, sociologue spécialiste de l’éducation, a élaboré cette évocation d’un village qui lui est familier en mêlant patiemment entretiens, recherche documentaire et bibliographique.
Violon populaire, le caméléon merveilleux,
Ouvrage collectif, éditions Modal, 2003, 219 p.
Si, dans le grand public, il est connu comme le symbole éclatant de la virtuosité de la musique savante occidentale, on sait moins qu’il fut aussi, dès le milieu du XIXe siècle, dans de nombreuses régions françaises et européennes, l’instrument populaire par excellence. Qu’ils soient violonaïres, lautari, fiddlers, violoneux ou violonistes, ils jouent du même instrument, le violon. Nous nous proposons, dans cette présente publication, de lever le voile sur quelques traditions de violon populaire, de découvrir leurs spécificités, de les questionner dans leurs éventuelles relations à la tradition savante, enfin, d’évoquer leur prolongement dans le monde d’aujourd’hui.
BOULIER Régis
Le violon, 500 ans d’histoire
D2l Arts Et Music, 2017, 152 p.
Le violon a 500 ans. Il fallait marquer l’anniversaire de celui qui a été qualifié à maintes reprises de Roi des instruments. Mais quels sont ses ancêtres ? Où et quand a-t-il été créé ? Par qui ? De quoi est-il fait ? Léonard de Vinci peut-il avoir participé à sa création ? 20 millions de $, un violon ? Qu’est-ce que l’âme d’un violon ? Qu’est-ce que le staccato volant ? Que signifie sul ponticello ? Comment faire tenir un accord ? Le violon dans la peinture, la littérature, au cinéma…
CONFORTI Alberto
Le violon
Flammarion, Paris, 1989. 160 p. ill.
CAILLARD Anne-Marie
Le violon
Paris, Epigones (coll. Mon instrument de musique), 1984, 46 p. ill.
CAPUANO Marc
Le violon, c’est dingue
Chez l’auteur, 2013, 169 p.
Oui c’est dingue comme cet instrument est chargé d’histoires surprenantes, comme il peut nous charmer, nous faire danser, nous intriguer. L’histoire du violon est riche de personnages illustres ou méconnus, mais qui ont tous participé à leur façon à hisser le violon sur la plus haute marche de la hiérarchie des instruments de musique. L’auteur est parti sur les traces laissées par cet objet mystérieux aux quatre coins de l’Europe pour nous livrer ici les réponses à de nombreuses questions.
CLAUDEL Jean-Paul
Le violon et Mirecourt
Ed du Sapin d’Or, Epinal, 1974, 79 p.
ECHARD Jean-Philippe
Le violon Sarasate, Stradivarius des virtuoses
Philharmonie de Paris, Musée de la Musique, 2018, 125 p.
Stradivarius des virtuoses, le violon Sarasate concentre une mémoire sonore, musicale et lumineuse. Construit dans l’atelier Stradivari à Crémone en 1724, le violon Sarasate est passé entre les mains des plus grands virtuoses, luthiers et collectionneurs, qui n’ont cessé d’en enrichir la part biographique et légendaire.
Présentation de l’ouvrage
FLAMMER Ami, TORDJMAN Gilles
Le violon
Jean-Claude Lattès, 91 p.
GIL Dominic
Le grand livre du violon
Van de Velde, 1984, 256 p.
GREILSAMER Lucien
L’hygiène du violon de l’alto et du violoncelle
Paris, Delagrave, 1911, 124 p.
HOFFMANN Georges
Stradivarius l’enchanteur
Genève, Grasset, 1938, 200 p.
LAINÉ Frédéric
Le violon italien : une seconde voix humaine
Aparté, 2012, 273 p.
L’aventure du violon italien, depuis presque cinq siècles, est multiple, complexe et se poursuit aujourd’hui encore dans ce climat passionnel qui l’a toujours accompagné. Définir le violon comme l’instrument du voyage peut être considéré comme un lieu commun et pourtant son histoire est bien remplie de migrations, d’échanges et d’influences. Sa facture et son jeu sont aussi nécessairement habités par l’apprentissage d’un art et la quête d’un idéal sonore.
PINCHERLE Marc
Le violon
PUF, Que sais-je ?, 1966, 127 p.
PINKSTERBOER Hugo
L’indispensable musical, Violon & Altos
The Tipbook Company, 2002, 142 p.
À la fois utile, accessible, détaillé et pratique, ce guide est destiné aux violonistes et altistes qui souhaitent tirer le meilleur parti de leur instrument. Cet Indispensable Musical contient une foule d’informations présentées à un rythme approprié, parmi lesquelles l’essai et le choix d’un violon et d’un alto, les cordes, archets et autres accessoires, l’entretien et l’accord, ainsi que l’histoire du violon et des instruments de la même famille et, enfin, un glossaire.
SACCONI Simone
Les secrets de Stradivarius : catalogue du matériel de Stradivarius du musée municipal de Crémone
Nantes, Castelli et Bour’His, 1989, 284 p. ill.
TORTI Marie-Christine
Le violon : âme de l’orchestre
Casterman, 1992, 45 p.
Les violons ont-ils une âme ? L’érable est-il plane ou sycomore ? Dans quelles régions poussent » les arbres à violon » ? Connaissez-vous le violon des mers ? Combien coûte un stradivarius ? Où est passé le violon d’Ingres ?
TURNER Barrie Carson
Le violon
Gautier-Languereau, Paris, 1996, CD inclus.
VERCHEVAL Henri
Dictionnaire du violoniste : suivi d’une liste des violonistes célèbres et des luthiers les plus connus depuis l’origine du violon jusqu’à la fin du XIXe siècle
Paris, Librairie Fischbacher, 1923
Texte intégral
ZAKOWSKY Laurent
Petites histoires du violon
Aedam Musicae, 2018, 248 p.
Certains objets fascinent : le violon est l’un d’eux. Par son histoire, ses mythes, ses mystères, il véhicule en filigrane les valeurs et les idéaux de notre société. Laurent Zakowsky, luthier, présente une autre vision de l’instrument en montrant ses rapports à la religion, la sexualité, l’économie, la folie…
Violons, Vuillaume : un maître luthier du XIXe siècle, 1798-1875
Cité de la musique/Musée de la musique, 1998
BEC Pierre
Vièles ou violes : variations philologiques et musicales autour des instruments à archet du Moyen Age, 11e -15e siècle
Paris, Klincksieck, 1992, 390 p.
La motivation et la finalité de ce livre sont doubles : d’une part, une étude linguistique, philologique et littéraire mais aussi parallèlement, une étude organologique portant sur ces mêmes instruments : leur typologie, leur spécificité acoustique, leur technique de jeu, leur présence dans les textes (théoriques et littéraires), leur impact socio-culturel, leur hiérarchie dans les représentations iconographiques et surtout dans l’instrumentarium médiéval et sa pratique
CHARLES-DOMINIQUE Luc
Les ménétriers français sous l’Ancien Régime
Klincksiek, 1994,335 p.
La pratique musicale des ménétriers, depuis son apparition au XIVe siècle, constitue un trait marquant de l’histoire de la musique instrumentale française. Durant au moins quatre siècles, elle va se trouver au cœur de tous les rituels sociaux, urbains comme ruraux...
CIZERON Janine
L’apparition du violon en France d’après l’iconographie, les traités et les théoriciens
(Thèse). Paris, Sorbonne 1978, 1006 p.
DE CHESSIN Alexis
La grande école du violon du XVIIIème siècle : considérée sous l’angle de l’esthétique et de l’interprétation traditionnelle classique
Maison Aubanel père, 1952, 76 p.
Didier Jacques
Manufactures et maîtres luthiers à Mirecourt
Metz, Serpenoise, 1997
La ville de Mirecourt et les villages qui l’entourent sont le berceau de la lutherie française. Témoignages vivants et documents jalonnent cette époque du début du XXe siècle où les mains les plus habiles eurent à faire face à une crise économique qui déstabilisa les structures initiales dans lesquelles nombre de ses habitants s’étaient investis.
FOURNIER Bernard
L’esthétique du quatuor à cordes
Paris, Fayard, 1999, 705 p.
En quelque deux cent cinquante ans d’une histoire sans déclin ni éclipse, le quatuor à cordes, genre majeur de la littérature musicale, a vu fleurir un répertoire immense, d’une qualité sans équivalent. Quel secret se cache derrière cette formation instrumentale toute simple – deux violons, un alto et un violoncelle – pour avoir permis aux compositeurs de dessiner au cours du temps un des paysages musicaux les plus fascinants que l’on puisse contempler aujourd’hui ? Lieu privilégié du dialogue intime, du discours introspectif et réflexif, il a pu être aussi le théâtre des gestes musicaux les plus fulgurants, de la Grande Fugue de Beethoven au 5e Quatuor de Bartok…
FOURNIER Bernard
Panorama du quatuor à corde
Paris, Fayard, 2014, 328 p.
Bernard Fournier en propose ici une synthèse destinée à faire découvrir ce genre à un large public. Ce livre parcourt l’histoire du quatuor depuis ses origines, au milieu du XVIIIe siècle, jusqu’à nos jours. Il insiste particulièrement sur les périodes charnières de son évolution, scandées en grands moments (la naissance du genre à l’âge classique, son apogée avec Beethoven, son renouveau au début du XXe siècle, sa mutation à partir des années 1950) et met en valeur les principaux chefs-d’œuvre du répertoire.
GALLIARI Alain
Concerto à la mémoire d’un ange, Alban Berg 1935
Fayard, 2013, 184 p.
Par sa beauté formelle et son lyrisme, le Concerto à la mémoire d’un ange d’Alban Berg a séduit un large public, dès sa création. À sa charge émotionnelle – l’œuvre est dédiée à Manon Gropius, fille d’Alma Mahler, dont la mort à l’âge de dix-huit ans, en 1935, frappa le Tout-Vienne – s’est très vite superposée une légende : parce qu’il composa son concerto sous le choc de cette mort prématurée, et qu’il mourut soudain lui-même en décembre de la même année, Berg aurait eu en écrivant cette œuvre funèbre la prémonition de sa propre fin, composant par anticipation son requiem.
GALPERINE Alexis
Huit figures exemplaires de professeurs de violon
Delatour France, 2013, 115 p.
Huit portraits de ses maîtres, qui mêlent l’évocation personnelle et l’analyse de principes instrumentaux ou esthétiques. Un voyage sur trois continents nous emmène à la Schola Cantorum et au Conservatoire (Lily Bach, Line Talluel, Marie-Thérèse Ibos, Roland Charmy, Pierre Amoyal), à New-York, à la Juilliard School (Ivan Galamian), à Genève (Henryk Szeryng) et à Jérusalem (Sacha Bernstein). En complément, trois récits rendent compte de visites chez Salvatore Accardo, Zino Francescatti et Dominique Hoppenot.
LA LAURENCIE Lionel
L’école française de violon, de Lully à Viotti; études d’histoire et d’esthétique
Paris, Delagrave 1922
PENESCO Anne
Du baroque à l’époque contemporaine : aspects des instruments à archet
Paris, H. Champion, 1993, 192 p.
PENESCO Anne
Proust et le violon intérieur
Paris, Édition du Cerf, 2011, 177 p.
PINCHERLE Marc
Les violonistes : compositeurs et virtuoses
1922
PINCHERLE Marc
La technique du violon chez les premiers sonatistes français (1695-1723)
Minkoff reprints, 1974, 49 p.
POUGIN Arthur
Viotti et l’école moderne du violon
Schott, 1888, 190 p.
POUGIN Arthur
Le violon – Les violonistes et la musique de violon du XVIe au XVIIIe siècle
Paris, Librairie Fischbacher, 1924
Texte intégral
VIDAL Antoine
La lutherie et les luthiers
Quantin, Paris, 1889. (fac-similé de l’édition de 1889), Brioude, 1969
Texte intégral
VIRY-BABEL Roger
Mirecourt et la lutherie
L’Est républicain, Heillecourt, 1987, 80 p. ill.
Du baroque à l’époque contemporaine : aspect des instruments à archet
Textes présentés et réunis par Anne Penesco, Honoré Champion, 1993
Modes de vibration d’un violon
Université Nice Sophia Antipolis, LPMC, 2008/2009
Texte intégral
ALTENBURGER Paul, ROSENSTIEL Marc
Manuel de lutherie
Vial, 1999, 156 p.
Ce livre a pour objet de mettre à la portée des amateurs intéressés la fabrication des instruments à cordes du quatuor : violon, alto, violoncelle. Pour ce faire, il présente de manière résumée et didactique les pratiques de lutherie qui sont utilisées depuis plusieurs siècles et décrites dans de nombreuses publications. D’une certaine façon, ce livre démystifie une technique et un art dont la pratique reste, certes difficile mais parfaitement accessible à ceux qui en ont envie.
ARAKELIAN Sourène
Le Violon, Préceptes et notices d’un luthier : mon vernis à base de myrrhe
Das Musikinstrument, 1981, 80 p.
BUCUR Voichita
Le bois de lutherie
s.n., 1992
Texte intégral
BUCUR Voichita
Vers une appréciation objective des propriétés des bois du violon
1963.
Texte intégral
CABOS Francine
Le violon et la lutherie
Gründ, 1948
Texte intégral
DENIS François
Traité de lutherie
ALADFI, 2006
Le « Traité » éclaire l’histoire de la lutherie en levant le mystère de l’origine de la forme du violon. Sa lecture nous révèle les secrets des modèles emblématiques créés par les grands luthiers italiens. Artisans, théoriciens et curieux se laissent surprendre par une approche théorique singulière pétrie d’une tradition orale méconnue. Cet ouvrage original a rencontré un succès international.
ELIE Benjamin
Caractérisation vibratoire et acoustique des instruments à cordes
thèse, Université du Maine, 2012, 237 p.
Texte intégral
KLEIN Valérie
Luthier, de la main à la main
Actes Sud, 2012, 188 p.
Dans le contexte artisanal, le terme « main » ne désigne pas le seul organe préhensile par lequel se concrétise l’activité, mais sert à qualifier, par métonymie, un luthier: un bon luthier est une bonne main. Or, ce qui circule entre des individus fait l’objet aussi bien de persistances que de transformations: les connaissances, les idées, les pratiques ne se transmettent pas sans modifications. En restituant chacune à leur manière un versant de l’expression « de la main à la main », les contributions ici réunies participent de ce processus de médiation: elles proposent au lecteur d’emprunter diverses voies menant à une meilleure compréhension de cet univers où les hommes et les objets forment une seule et même entité.
LEBET Claude
Dictionnaire universel des luthiers
les Amis de la musique, 1985, 3 t.
LEIPP Emile
Essai sur la lutherie : étude rationnelle des influences respectives de la construction et du vernissage sur la sonorité des instruments du quatuor, Considérations sur le vernis de Crémone
chez l’auteur, 1946, 90 p.
LEIPP Emile
Le violon, histoire, esthétique, facture et acoustique
Hermann, Actualités scientifiques et industrielles, 1965, 127 p.
LEIPP Emile
La sonorité du violon, de l’alto, du violoncelle
étude analytique, 1952
LENOIR Thierry
L’Ame du Violon : Pour que chante la vie
Cabedita, 2017, 69 p.
Autrefois, on construisait un luth ou un violon comme on bâtissait une cathédrale. L’instrument était ainsi envisagé comme un lieu privilégié où se rencontrent et se mettent en résonance les dimensions céleste et terrestre. Par lui, une médiation s’opère entre les deux mondes – inférieur et supérieur. Une voie s’ouvre, par laquelle l’infini passe dans le fini et le fini dans l’infini. Le violon devient un miroir – ainsi qu’une porte d’accès – pour le monde invisible.
MAUGIN J-C , MAIGNE W.
Nouveau manuel complet du luthier ou Traité pratique et raisonné de la construction des instruments à cordes et à archet
Paris, Laget, 1979 (fac-similé de l’édition de 1894)
Ce traité pratique propose en six parties les techniques de fabrication des violons, altos, violoncelles, archets, cordes à boyau et métalliques, guitares, luths, théorbes, mandolines, mandoles, cithares, banjos, harpes et des instruments à archet et à clavier.
Texte intégral
MELKUS Eduard
Le violon, une introduction à son histoire, à sa facture, à son jeu
Payot, Lausanne, 1977, 126 p.
MILLANT Roger et Max
Manuel pratique du luthier
les Amis de la musique, 1979
MOUZAT Eric, PLANCHAT Fabrice
La lutherie, une divine passion
2001 (CD inclus)
SCIORTINO Patrice
Mythologie de la lutherie
L’Harmattan, Paris, 2000, 98 p.
L’art musical, et plus précisément l’examen de la machinerie instrumentale productrice de son révèle un certain nombre d’images et de preuves qui conduisent l’auteur à penser qu’elles ne sont ni innocentes ni complètement artificielles mais réellement les veinures éternelles comme celles qui persistent dans le marbre et témoignent d’une existence profonde, obscure et pénétrante. Puis pour étayer cette théorie, huit contes fantasques et symboliques apporteront l’image des impondérables qui échappent à la raison mais caressent notre sensibilité.
SIBIRE (Abbé)
La chélomanie ou le parfait luthier
Bruxelles, A. Looseldt, 1885 (1ère éd. 1803)
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TOLBECQUE Auguste
L’art du luthier
Maxtor France, 2013 (fac similé 1903), 334 p.
Un travail historique important pour les luthiers qui étudient l’art de la lutherie , il couvre tout ce que vous devez savoir de la préparation de l’outillage , à des mesures spécifiques de moules , choix des bois et plus encore.
COUSINEAU Jean
De la nature du violon
Montréal, Louise Courteau, 1989
Une analyse des caractéristiques du violon qui, tenant compte de la mécanique humaine permet de développer une technique d’intégration de l’instrument pour en jouer sans effort ni fatigue.
DE CHESSIN Alexis
Le guide du violoniste : technique de l’archet et mécanisme de la main gauche, en regard de la fonction organique
Maison Aubanel père, 1955, 87 p.
GALAMIAN Ivan
Enseignement et technique du violon
Van-de-Velde, 1993, 184 p.
Ivan Galamian fut sans doute l’un des plus grands pédagogues de notre siècle. Il exerça son art durant 40 ans à Curtis et à Julliard aux Etats-Unis. Il a marqué toute une génération de violonistes dont certains sont devenus des stars. Ce livre permet de découvrir cette démarche pédagogique très originale et sera une aide précieuse pour tous les violonistes.
HOPPENOT Dominique
Le violon intérieur
Van de Velde, 1981, 256 p.
On oublie trop souvent que jouer d’un instrument, interpréter de la musique, mobilise à la fois le psychisme et les ressources corporelles, et met en jeu l’être tout entier. Dans le violon intérieur, fruit de sa longue expérience pédagogique, Dominique Hoppenot projette un éclairage complètement nouveau sur cette problématique et comble, les attentes de ceux que la pratique instrumentale a laissés insatisfaits.
MENUHIN Yehudi
L’art de jouer du violon
Buchet-Chastel, 1990
Traitant des principes fondamentaux du jeu de violon, cet ouvrage s’adresse à tous les violonistes, élèves ou professeurs, débutants ou confirmés. Il propose une série d’exercices soigneusement gradués, illustrés par un grand nombre de figures et d’exemples musicaux. Il comprend également des conseils sur l’entraînement du violoniste, sur la façon dont il doit soigner son instrument et son archet, et livre une série d’exercices à réaliser quotidiennement.
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MENUHIN Yehudi
Violon et alto
Paris, Hatier, 1978
Conseils techniques et pratiques pour l’apprentissage du violon (par Y. Menuhin) et de l’alto (par W. Primrose). La 3e partie, p. 150-189, contient des éléments d’histoire du violon et des analyses de quelques pièces de violon de J.-S. Bach.
MOZART Johann Georg Leopold
Méthode raisonnée pour apprendre à jouer du violon
A. Zurfluh, Paris, réédition 1993.
Texte intégral
POMER Vic
Le violon sans douleur, Guide à l’intention des professeurs
Presses universitaires d’Ottawa, 1998, 59 p.
THOUVENOT-LAMBERT Valérie,
Grandir avec son violon – La pédagogie du violon d’après l’expérience de Clotilde Münch
L’Harmattan, Sciences éducation musicale, 2017, 154 p.
Entretiens au cours desquels Clotilde Münch, interrogée par une de ses belles-filles, expose à la fois son parcours personnel dans son apprentissage instrumental débuté très jeune, ses rencontres décisives avec de grands musiciens (professeurs, interprètes et compositeurs) et surtout sa démarche de pédagogue ayant proposé l’approche du violon à des enfants dès l’âge de trois ans dans des cours essentiellement collectifs.
ROLLAND Paul
L’enseignement du mouvement dans le jeu des cordes
Presse de l’Université Laval, 2011, 247 p.
« The Teaching of Action in String Playing », dont voici enfin la traduction française, est une passionnante pédagogie du jeu des cordes, aussi séduisante qu’efficace, aussi pratique que scientifiquement fondée. L’auteur, Paul Rolland (1911-1978), violoniste et pédagogue, lauréat de l’Académie Franz-Liszt de Budapest, premier violon de l’orchestre symphonique de cette ville et quartettiste raffiné, émigre aux Etats-Unis en 1938. Professeur à la University of Illinois School of Music, il entreprend dans les années soixante un vaste projet de recherche visant à accélérer l’apprentissage du violon et de l’alto, en améliorant les techniques d’acquisition des bons mouvements pour faire fondre les tensions.
SULEM Reine-Brigitte
Physiologie et art du violon
Alexitère, Montauban, 2002, 109 p.
TOUVENOT-LAMBERT Valérie
Grandir avec son violon – La pédagogie du violon d’après l’expérience de Clotilde Münch
L’Harmattan, 2017, 154 p.
« La musique donne une âme à nos coeurs et des ailes à la pensée », dit Platon. Ce livre se présente sous forme d’entretiens au cours desquels Clotilde Münch, interrogée par une de ses belles-filles, expose à la fois son parcours personnel dans son apprentissage instrumental débuté très jeune, ses rencontres décisives avec de grands musiciens (professeurs, interprètes et compositeurs) et surtout sa démarche de pédagogue…
WOOD Benjamin
L’art mystérieux du violon
Paris, éd.Maurice Sénart, 1927, 117p.